Maison de qualité

Maison de qualité
On ne fait du bon qu'avec du très bon ( Prosper Montagné )

lundi 28 avril 2014

PRIX CULINAIRE PROSPER MONTAGNÉ 2014

dimanche 27 avril 2014

Prosper à découvrir par Alain Kritchmar, Didier Avril, Chef du Cercle de l'Union Interalliée

Un petit peu d'histoire, le Cercle de l'Union Interalliée a été fondé en 1917 lors de la Première Guerre mondiale afin d'accueillir et d'offrir les ressources morales et matérielles aux officiers et personnalités des nations de la Triple-Entente ( Russie, Royaume-Uni et États-Unis ). Il est situé dans l' hôtel particulier d'Henri de Rothschild, tout près du Palais de L'Elysée au 33 rue du Faubourg Saint-Honoré, dans le huitième arrondissement à Paris,  bâtiment construit en 1714.
Il comprend notamment une cour d'honneur, des salons de réception, des salles à manger donnant sur le jardin, des salles de lectures et de jeux, une bibliothèque, une salle de billard, des salons privés, des sous-sols dans lesquels sont aménagés une piscine, un hammam, un complexe sportif et une superbe cuisine ultra moderne.
C'est un club privé très fermé, pour être admis les candidats doivent être présentés par deux parrains membres de l'association, et les candidates ( mais oui, les dames sont acceptées, nous ne sommes pas en Angleterre ) par deux marraines également membre du cercle, mais l'une d'elles doit de surcroît être du Comité des Dames.
Je n'aurai pas l'indiscrétion de vous indiquer les montants à acquitter se rapportant à  l'inscription et à la cotisation annuelle, il vous sera  nécessaire toutefois d'avoir un compte en banque bien approvisionné afin de pouvoir faire fasse et une patience à toute épreuve, les membres étant limités à 3000 et pas un de plus, et comme à l' Académie Française il faut savoir parfois attendre plusieurs années avant d'obtenir son " fauteuil".
Attention si un jour vous y êtes invités, sachez Messieurs que la cravate est obligatoire, il faut savoir garder les traditions vestimentaires, non mais !
Rentré au cercle depuis 35 ans, Didier Avril en est à présent le Chef Exécutif depuis l'année 2000. Premier commis,Chef de partie, Sous-Chef en 1990, et enfin la consécration depuis 11 ans. Il sert 400 couverts par jour, organise banquet, mariage, réception, cocktail, déjeuner et dîner pour les membres avec 33 personnes en cuisine ( 70 au total avec le personnel de salles ) et un staff complet de 150 employés.
Didier Avril : Le cercle est une organisation identique à celle d'un grand hôtel, à la différence que nous ne logeons pas nos membres. L'ambiance en cuisine est extraordinaire, les gens qui nous rejoignent une fois sur place ne veulent plus s'en aller ( le plus récent à 10 ans de maison, voir 20 ans pour certain )
Didier Avril est un chef d'exception et pour avoir goûté à plusieurs reprises sa cuisine ( le cercle est membre du Club Prosper Montagné ) je vous assure qu'il aurait sans problème une place de choix au sein de la direction de cuisine d'un grand hôtel de luxe ou d'un grand établissement étoilé. C'est un homme de coeur d'une grande gentillesse et d'une modestie à toute épreuve.
ps: l'actuel Président International du Club Prosper Montagné, André Fournet,  a été pendant de nombreuses années Directeur de la restauration du Cercle.



Ci-dessous quelques réalisations du Chef Didier Avril













Didier Avril

lundi 21 avril 2014

Et si l'agneau pascal prenait un petit air exotique ?

Et pourquoi pas façon curry. Le curry ( kari, carry, cari) comme vous le savez tous est un mélange de plusieurs épices réduites en poudre. La composition peut en être variable suivant les régions de l'Inde mais il comporte toujours des éléments de bases qui sont le poivre, les clous de girofles, la cardamome, le curcuma, le cumin et le piment. On peut aussi y ajouter du gingembre, de la muscade, du fenouil, de la coriandre et des graines de moutarde. Le curry le plus courant est bien entendu celui d'agneau mais on peut le réaliser également avec de la volaille ou du poisson, accompagnés de riz ou de légumes. 
Je vais vous donner ici une idée de recette de curry d'agneau qui est proposée au restaurant La Coupole à Paris et qui en a fait l'une de ses spécialités depuis 1927. Il était et c'est toujours le cas, servi << en voiture de tranche>>par un Indien en grande tenue, la recette vient de la région du Chennai, ancienne Madras du Sud. 
crédit photos Alain Kritchmar
 
Pour 6 personnes :
3,5 kg dans l'épaule ou dans le gigot d'agneau 
10 cl d'huile de tournesol
3 pommes golden
1 banane
1 cuil. à café de curry
1 cuil. à café de paprika doux
30 gr de noix de coco râpée
3 gousses d'ail écrasées
250 gr d'oignons ciselés
1/2 à café de gros sel 
50 cl de jus d'agneau
200gr de tomates
20 gr de farine
50 gr de persil frisé
500 gr de riz Basmati
50 gr de beurre
bouquet garni
chutney de mangue, piments et achards

1/ Couper l'agneau en morceaux et le faire revenir 5mn avec une pomme et la banane coupées en rondelles. Ajouter les oignons et l'ail.
2/ Cinq minutes plus tard, ajouter la poudre de curry, le paprika et la noix de coco. remuer, saupoudrer de farine, mouiller à hauteur avec l'eau ou du jus d'agneau clair.
3/ Ajouter le bouquet garni, saler et laisser cuire à feu doux 1h/ 1H30
4/ Séparer la viande de la sauce, mixer la sauce, puis remettre les morceaux d'agneau et la sauce mixée pour un lent mijotage de 30 minutes.
5/ accompagner l'agneau avec des dés de pommes sués au beurre , des tomates concassées avec le persil haché et du riz Basmati, sans lequel le curry serait orphelin.
6/ Le chutney de mangue, les piments et les achards sont servis en accompagnement dans de petits bols comme il est d'usage en Inde.










samedi 19 avril 2014

International Jumping de Chantilly du 18 au 20 avril

Se déroule comme chaque année face aux magistrales écuries du Prince de Condé et face au prestigieux Château de Chantilly, L'International Jumping Global Champions Tour qui réuni les meilleurs cavaliers mondiaux. Durant trois jours l'élite de l'équitation internationale va s'affronter regroupant plus de 200 cavaliers, 500 chevaux sur 25 nations représentées. Superbe spectacle où la restauration n'est pas oubliée puisque assurée à l' Espace VIP par l'excellent Alain Pfirmann qui va fêter ses 10 années de présence sur le concours.
Gérard Manzinali, Président du concours :
<<L'équitation est au niveau mondial, l'un de nos fleurons sportif. Deuxième Fédération mondiale, l'équitation allie sportivité, mixité, élégance et convivialité. Qu'elle soit de haut niveau ou amateur, cette discipline rayonne afin de pouvoir répondre aux envies de chacun et de nous faire vivre des moments d'exceptions.
En France, l'Equitation est la 3ème Fédération sportive constituée de plus de 6900 clubs et plus de 700.000 licenciés. L'Equitation Française arbore 424 médailles olympiques, mondiales et européenne depuis 1912.
Depuis 2000, Le Jumping de Chantilly perpétue la magie du lieu et offre aux cavaliers et visiteurs le plus beau décor pour un évènement équestre sportif.
Quel meilleur écrin peut-on rêver pour un Jumping International: sur le plus ancien hippodrome d'Europe continentale, une double piste en herbe qui respecte la tradition de ce sport où l'esthétisme revêt toujours un aspect essentiel>>.
Et pour les fans d'équitation et de cinéma, je vous rappelle que Guillaume Canet est engagé sur des épreuves, il nous avait déjà montré tout son talent sur l'excellent film de Christian Duguay, Jappeloup.  






 Alain Pfirmann









vendredi 18 avril 2014

David Rathgeber à l' Assiette

A force d'entendre Aurélie (Sartres) et Alain (Cohen) dire du bien de l'Assiette rue du Château dans le XIVème, j'ai fini par y faire une petite visite. Pour une fois je vais être un peu ramier et vous raconter ce que dit Alain Cohen sur ce jeune chef plein de talent:
Alain Cohen, extrait de <<J'ai croqué un Chef>> aux éditions Laymon : 
<< David Rathgeber fait partie de ces jeunes apprentis qui eurent la chance de croiser la route d'Alain Ducasse et d'avoir été choisi par le Chef pour faire partie de sa garde prétorienne. Arrivé en "Ducasserie" à l'adolescence, il aura occupé tous les postes, assumé toutes les corvées, subi toutes les épreuves...et gravi tous les échelons jusqu'à devenir le chef du mythique Benoît, un des rarissimes bistrots étoilés du guide Michelin et une des plus belles salles de restaurant de la capitale. Je l'avais croisé au Plaza Athénée à l'époque où Christophe Moret battait tambour pour me faire entrer dans toutes les cuisines du groupe. Mais c'est lorsqu'il prit le poste de Chef à l'ouverture du restaurant Aux Lyonnais que je découvris cet animal étrange qui allait devenir un véritable ami. David est un loup solitaire doublé d'un chef de meute...une forme de schizophrénie affective! Les bras grands ouverts mais les points serrés...La gueule aussi, grande ouverte ! Et pas la langue dans sa poche, dans la poche de personne d'ailleurs. David Rathgeber est un <<Chef-Propriétaire>> qui est Chez lui! Il nourrit ses clients avec une générosité en voie de disparition, mais ne se laisse jamais emmerder... A bon entendeur...Merci !
C'est sans doute grâce à David que <<J'ai croqué un Chef>> est né, c'est lui qui un jour commanda à Aurélie un portrait d'Alain Ducasse pour l'accrocher dans son restaurant L'Assiette en hommage à celui qui lui avait tout appris (ou presque) et qui l'avait présenté à Lulu. Cette Pasionaria du 14ème arrondissement qui comptait François Mitterand comme habitué cherchait un digne successeur pour reprendre son établissement. Chez Lulu. Elle s'était adressée à Alain Ducasse pour lui demander conseil. Généralement, c'est celui qui s'en va qui fait un cadeau d'adieu. Pour David, ce fut l'inverse. Lorsqu' après 15 ans de bons et loyaux services, il informa le Chef qu'il voulait ouvrir sa propre affaire, celui-ci lui souhaita bonne chance et lui apporta l'Assiette sur un plateau. L'Assiette de David Rathgeber, mais surtout l'Assiette de tous les fans de cuisine traditionnelle, ensoleillée... et brillante !
Un seul regret : qu'Aurélie n'est pas été présente lorsque le Chef, après avoir déjeuné chez David, tomba nez à nez avec son propre portrait, une petite toile peinte à l'huile: un portrait qui sortait tout droit de la renaissance...un bijou ! Et dans les yeux d'Alain Ducasse une émotion que nous raconta David et dont il fut le seul témoin>>.
Alors dans tout ça ? Je confirme, c'est le "pied". Je n'ai pu m'empêcher d'envoyer des textos à Aurélie pendant mon déjeuner pour lui raconter mes quenelles sauce Nantua et la crème au caramel-beurre salé, une véritable tuerie !!! c'est peut-être la meilleure que j'ai goûté dans ma vie de gourmand...Une seule hâte c'est d'y retourner très vite afin d'y organiser en novembre un chapitre avec une trentaine de <<Montagné>> triés sur le volet, une adresse comme celle-là ça se mérite.
ps: je vous rappelle le très bon bouquin de mes amis Aurélie et Alain <<J'ai croqué un Chef>> petite merveille à déguster sans modération, je crois savoir qu'une suite est en préparation...


Au centre, David Rathgeber

 La sardine dans tous ses états!!!

Quenelles de merlan sauce Nantua 
(aussi bonnes qu'au Bellecour rue Surcouf, vous vous souvenez ?) 

Crème caramel au beurre salé

 La même pour vous montrer l'intérieur (mortelle !) 

J'ai cru que c'était Andy Warhol, mais comme il est mort, c'est sur que c'était pas lui, je devais être bourré en sortant du restaurant. 


 L'Assiette, 181 rue du Château, 75014 Paris
tél: 01 43 22 64 86
(carte de 40 à 60€) 
Réservations souhaitées, comme toute les bonnes adresses, c'est plein !


mercredi 16 avril 2014

Georges rue du Mail, c'est rassurant

Il y a des adresses qui nous rassurent, où l'on se sent bien, des adresses où rien n'a changé ou presque depuis des années, où l'on retrouve le même décor, la même ambiance. 
Chez Georges rue du Mail dans le IIème à Paris, c'est trois générations de Brouillet qui se sont succédé dans l'établissement. Aujourd'hui les nouveaux propriétaires Jean-Gabriel de Bueil et son beau-frère Dominique Paul ont eu l'intelligence de garder l'âme de ce restaurant, une véritable institution dans le quartier depuis une cinquantaine d'années.
Pourquoi va-t-on chez Georges ? On y va pour le hareng pommes à l'huile, pour la salade de museau vinaigrette, le Baltique, l'oeuf en gelé ou la frisée aux lardons. On va chez Georges pour l'andouillette Duval AAAAA, le foie de veau à l'anglaise ou le rognon de veau grillé accompagné de ses belles frites croustillantes et aussi pour le ris de veau aux morilles. On va chez Georges pour son baba, son Paris-Brest ou son Saint-Honoré sans oublier les formidables sorbets artisanaux de chez Pedrone à Vitry sur Seine. On va chez Georges pour tout ça et plus encore, pour les banquettes en moleskine, pour les miroirs à l'ancienne, les cartes rédigées encore à la main à l'encre violette, les serveurs en tablier blanc et les dames tout en noir. On va chez Georges pour la formidable carte des vins, grands crus et beaux millésimes. On va chez Georges avec un portefeuille bien garni, environ 100€ par tête si vous êtes raisonnables sur le glouglou mais attention les beaux flacons cartonnent, enfin on va chez Georges pour se rappeler que l'on peut encore bien manger à Paris entre les anciennes Halles et la place des Victoires sans tomber sur les trois bouchées dans l'assiette accompagnées de ses trois petits pois qui se battent en duel. En résumé on va chez Georges pour manger ! 




Asperges sauce mousseline

Onglet aux échalotes

 La sole <<Georges>> grillée à la plancha 

ps: pas de dessert on en pouvait plus...



Georges
1 rue du Mail, 75001 Paris
Tél: 01 42 60 07 11
(carte de 60 à 110€)





mardi 15 avril 2014

Le Gallia pour un déjeuner entre copains

Je vous avais parlé du Gallia rue Saint Ambroise à Paris, Prix du Meilleur Pot 2013, je vous raconte à présent le déjeuner.
A table :
Deux copains plus mon frangin, des adresses comme celle-là ça se fait en groupe. On y va pas tout seul ou en tête à tête avec son amoureuse (ou amoureux, j'ai pas de préjugés) c'est un endroit pour du sérieux, du solide, pas du cérébrale. On y parle pas d'amour ou alors seulement Saint-Amour, l'un de mes préférés dans le Beaujolais. Au Panthéon les Brouilly, Chénas, Morgon, Moulin à vent, Fleurie...merveilleux cépage ayant acquis ses lettres de noblesse que le gamay. C'est du <<gouleyant>>, du désaltérant, un vin à boire quand on à soif ou pas soif, rien que pour le plaisir. Un vin à boire avec des amis, un vin à partager, un vin avec qui on refait le monde, un vin qui nous rend les yeux brillants, qui nous rend heureux. En résumé vous aurez compris, j'aime le beaujolais (malheureusement les autres aussi...)
A l'ardoise :
Pâté de tête  pistaché de chez Bobosse, oeuf mayo, côte de boeuf de Pâques  provenance Limousine. Mais aussi tous les jours : la charcuterie de chez Conquet à Laguiole, escargots de Bourgogne, tête de veau, côte de boeuf pour grande faim ( 1kg pour deux) , fromages de L'abbaye de Citeaux, Roquefort du Vieux Berger et sorbets et glaces de chez Terre Adelice. Le tout tarifé à des prix à faire pleurer la soupe populaire.
La fréquentation: 
Comme beaucoup d'autres établissements que je connais bien, c'est plein. Le secret ? c'est bon, un rapport qualité-prix raisonnable, on ne vous fait pas la gueule (c'est important quand le patron et surtout la patronne sont sympas) alors quand certains se posent des questions sur le <<pourquoi que ça ne marche pas>>, allez donc faire un tour chez certaines adresses que j'ai indiqué sur le blog et vous comprendrez pourquoi. Comme le chantait si bien Boris Vian : on est pas là pour se faire engueuler, on est là pour...





Jean-Pierre Lebrave



La Gallia, 39 rue Saint-Ambroise, 75011 Paris
(entrée/plat/dessert : 30€)



vendredi 11 avril 2014

Retour à l' Evasion


On peut passer devant sans le remarquer, façade banale d'un bistrot comme on en voit un peu partout dans Paris. Qui pourrait se douter que se cache un véritable trésor une fois le seuil franchi. J'avoue avoir été un peu interloqué la toute première fois lorsque l'un des mes amis, avocat dans le quartier, m'avait invité à déjeuner à l'Evasion. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir une petite pépite fréquentée par les habitués du coin, clientèle de cabinet d'assurance et cabinet juridique, ambiance à la <<Tonton Flingueur>> comme se décrit lui-même l'établissement. A la tête de ce petit bijou, Lanrent Brenta, également propriétaire du restaurant  "D'chez eux", rue Lowendal dans le 7ème arr.
A l'Evasion les fournisseurs s'appellent Pétrossian pour la mer, Desnoyer pour les viandes, Alléosse pour les fromages et Pierre Hermé pour les desserts. La soif est assurée en grande partie par les caves Auger installée depuis 1850 Bld Hausmann à Paris et dirigée de main de maître par Marc Sibard, grand connaisseur de tout ce qui touche de près ou de loin aux beaux flacons. 
Alors qu'est ce que ça donne coté cuisine ? De la belle assiette généreuse et bien faite, les frites ou la purée accompagnant certain plats comme on aimerait les trouver dans les toutes maisons qui se respectent, <<l'oeuf mayo>> plusieurs fois primé est un summum pour ceux qui ne craignent pas le cholestérol et le Paris-Brest vaut à lui tout seul le déplacement. Petite faim et chichiteux s'abstenir, c'est de la nourriture d'hommes, mais les dames sont aussi les bienvenues, l'ambiance est là, le service à l'unisson et ça joue à guichet fermé tous les midi, réservation indispensable.






















L'Evasion
7 place saint-Augustin, 75008 Paris
Tél: 01 45 22 66 20 







         

Laurent Brenta









jeudi 10 avril 2014

Première édition de l'Oscar de la Charcuterie Prosper Montagné

Eric Guéroult, Prévôt des Charcutiers du Club Prosper Montagné et Bailly de la Confrérie des Chevaliers de Saint-Antoine a organisé la première édition de                       <<l'Oscar Prosper Montagné de la Charcuterie>>
Différents jurys durant toute une matinée ont jugé, fromages de tête, saucissons à l'ail cuits et pâtés de campagne pour élire le lauréat de ce nouveau concours.
Une quarantaine de candidats ont participé à ce concours organisé pour l'occasion dans les salons de l'hôtel Fouquet's Barrière à Paris. Quatre vingt dix <<Montagné privilégiés>>  avaient ensuite été conviés pour un déjeuner concocté par Jean-Yves Leuranguer le chef étoilé du Diane le restaurant gastronomique de l'hôtel afin de découvrir le savoir-faire de ce Meilleur Ouvrier de France.

Palmares du concours :

1er prix     : Eric Poirrier, Maison Ballereau, 92230 Sceaux
2ème Prix : Jean-Pierre Cormier, 41170 Sarge sur Braye
3ème Prix : Christian Labelle, 93130 Noisy le Sec
4ème Prix : Claude Gonthier, 89140 Courlon sur Yonne
5ème Prix : Christian Mouret, 91490 Milly la Fôret
6ème Prix : Didier Pavard, 91670 Angerville
7ème Prix : Cyril Fouanon, Maison Joly, 75016 Paris
8ème Prix : Laurent Ody, 16410 Dignac
9ème Prix : Christian Devillard, 71200 Le Creusot
10ème Prix:Amédée Gamboa, 75015 Paris
11ème Prix:Benjamin Delaye, 92400 Courbevoie
12ème Prix:Cyril Guilleminot, 10500 Brienne le Château
13ème Prix:Pierre Hombron, Pontivy
14ème Prix:David Bruneau,28240 La Loupe
15ème Prix:Maurice Bigot, 60350 Pierrefonds




Eric Guéroult



Le diplôme en main, Antoine Boucomont, Etablissement Le Delas, sponsor du concours avec la maison Grand Marnier



             Eric Poirrier, 1er Prix

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